Le curcuma Longa, appelé aussi « le safran des Indes » est
utilisé en Asie (Inde, Chine..) depuis 6000 ans comme en attestent les livres Sanskrit.
Se sont les colonisateurs Britanniques qui feront venir le curcuma sur nos terre via le fameux curry Indien.
Son efficacité dans le traitement des troubles digestifs est reconnue par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et par la Commission E, commission scientifique allemande chargée de valider
les propriétés médicinales des plantes.
Le curcuma est traditionnellement utilisé pour prendre
soin de toute la sphère digestive. Digestion lente et lourdeur, ballonnement, perte d’appétit…C’est un stimulant qui agit contre l’acidité gastrique en favorisant la sécrétion de
mucus. Il protège ainsi l’estomac et le foi et permet d’agir contre les nausées.
La curcumine, la substance active du curcuma est aussi efficace pour les problèmes de gastrite et de pancréatite.
Connu comme puissant
anti-oxydant, le curcuma et son principe actif la curcumine participent à la protection de nos cellules en général (vieillissement…). Son
action est aussi anti-inflammatoire et donc efficace à plus d’un titre pour les articulations enflammées et douloureuses…
Par son action sur le foi, entre autre, le
curcuma agit sur le sang en lui permettant d’être plus fluide, donc en améliorant la circulation sanguine et donc la nutrition cellulaire. Il
a donc une action sur les troubles cardiovasculaires.
Son action anti-inflammatoire est aussi efficace au
niveau des intestins et lors d’épisodes de colites ulcéreuses.
Il semble également que le curcuma possède une action antimicrobienne contre une variété large de microbes, bactéries, parasites et champignons.
L’assimilation de la
curcumine est hautement potentialisée par la présence simultanée de poivre et pipérine, sa substance active.
« Bien qu’aucune étude ne le démontre directement, il semble y avoir un lien entre la consommation particulièrement élevée de curcuma et la faible
incidence de certains cancers (comme le cancer colorectal) en Inde et dans d’autres pays asiatiques6.
Chez des fumeurs, un essai clinique a démontré que la consommation quotidienne de 1,5 g de curcuma pendant 30 jours diminuait les composés cancérigènes présents dans
l’organisme7.
D’autres études préliminaires démontrent une potentielle activité anticancer de la curcumine lorsque consommée en quantités souvent supérieures à ce qui pourrait être consommé quotidiennement
sous forme de curcuma4,8.
Plusieurs études réalisées chez l’animal et in vitro appuient cet effet protecteur de la curcumine, particulièrement contre les cancers gastro-intestinal et colorectal9,10.
Même si les mécanismes d’action restent encore à être élucidés9,
c’est par ses propriétés
antioxydantes et anti-inflammatoiresque la curcumine pourrait exercer ses effets anticancer11. »
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